Presse
Fédération APAJH
Reportage sur _p/\rc___.
“Pendant le temps de la performance, seul le geste, la poésie, l’émotion comptent. Pour cette démarche d’inclusion qui irrigue son parcours, Eric Minh Cuong Castaing a reçu le Prix de l’Artiste citoyen engagé 2022, décerné par la Fondation Daniel et Nina Carasso.
La journaliste Emilie Chaudet l’a rencontré, chez lui, à Marseille.”
Fondation Daniel & Nina Carasso
Podcast “Les voix de l’art citoyen” Episode 17
Par Emilie Chaudet
“ PARC, TACT ET CONTACT
Éric Minh Cuong Castaing et sa compagnie Shonen présentent au Châtelet une chorégraphie qui sort de l’ordinaire tout en n’ayant rien, à première vue, de bien extraordinaire. C’est que ce spectacle, tout en bienveillance, se passe parfaitement des notions de nouveauté et de productivité. Et ce, pour le meilleur.”
Mouvement
Sur _p/\rc___.
Par Nicolas Villodre
“C’est à une expérience inédite et bouleversante que sont conviés les spectateurs de “pArc”, la dernière création d’Eric Minh Cuong Castaing. Une expérience de circulation et de décloisonnement sans précédent. Une expérience de corporalité renversante. Sur le grand plateau du théâtre du Châtelet, le chorégraphe réunit en un même espace déambulatoire, public, danseurs professionnels, enfants en situation de handicap moteur, soignants et parents ainsi qu’une poignée de robots de téléprésence conduits à distance par des adolescent.es neuro atypiques.”
Sceneweb
Sur _p/\rc___.
Par Marie Plantin.
“Une danse qui ouvre les possibles
Nous avons eu la chance de pouvoir assister à la répétition générale, la veille de la première, de ce spectacle particulier et passionnant dans sa manière d’aborder la représentation du corps handicapé.”
TOUTE LA CULTURE.
Sur _p/\rc___.
Par Adam Defalvard.
ARTE, l’atelier A
Sur Forme(s) de vie.
“Les écrans sont posés à même le sol, des images lentes et silencieuses y sont projetées. On ne saisit pas tout de suite qui sont ces étranges danseurs. À la Maison de Gardanne, un hôpital où il n’y a ni blouse blanche ni numéro sur les portes, le chorégraphe Éric Minh Cuong Castaing a mis en scène des corps malades, empêchés par le handicap. Danseurs professionnels et patients se confondent dans les chorégraphies de corps-à-corps : à chacun de signifier sa façon d’être en vie. Une exposition forte, exigeante, que la magie de la danse parvient à sublimer.”
Télérama Sortir
Sur Forme(s) de vie.
Projets Média
Sur Forme(s) de vie.
Par les Jeunes Critiques d’art, podcast de la série “Pourvu qu’iels soient douxces”, épisode 8.
M Le magazine du Monde
Sur l’Âge d’Or.
Par Roxana Azimi.
“Le miracle artistique s’opère souvent là où on ne l’attend pas (…) C’est au chorégraphe Eric Minh Cuong Castaing, artiste associé au Ballet National de Marseille, qu’on doit cette épiphanie. Baptisée L’Âge d’or, sa performance où s’enroulent les corps de danseurs professionnels et ceux d’enfants atteints de sévères troubles moteurs a tiré larmes et sourires aux spectateurs les plus blasés (…) L’Âge d’or doit être vu dans le champ de l’art : “Je voulais des lieux où l’on questionne la beauté, la norme, un lieu proche du pouvoir”, explique (le chorégraphe.) L’Âge d’or échappe à toute obscénité et chahute toutes les grilles de lecture.”
France 24
Sur l’Âge d’or.
Par Axelle Simon.
“Dans certaines parties du monde, surveillées au quotidien, cette technologie (des drones) crée un espace sonore particulier mais surtout un nouveau système homme-machine : la présence des drones influence les mouvements quotidiens. Ça entre en écho avec mon travail, qui questionne les interactions hommes / machines et la façon dont les nouvelles technologies changent nos structures de perception, notre appréhension du monde.”
Mouvement (n°97)
Sur Phoenix.
Par Aïnhoa J-Calmettes et Léa Poiré.
“Ni pièce de danse, ni performance, ni spectacle-conférence, mais un peu de tout ça. Indéfinissable, perturbant, intrigant. Pour changer le regard sur Gaza. Et peut-être même celui sur la danse.”
Danser Canal Historique
Sur Phoenix.
Par Thomas Hahn
“Il ne s’agit plus de faire un état des lieux des représentations de l’enfance mais de rendre compte d’une enfance sans âge (…) le lauréat Audi Talents Eric Minh Cuong Castaing crée une bouleversante structure de perception (…) en offrant à des enfants en situation de handicap moteur des lunettes “virtuelles”, leur permettant de voir ce que voient des danseurs, il leur donne en même temps des bras, pour faire danser leurs corps souffrant à hauteur d’homme.”
Revue Art Absolument
Sur L’Âge d’or.
Par Emmanuel Daydé.
“Cette connection entre ces deux corps, dits valide et invalide, se joue à une toute petite échelle, avec délicatesse, à travers des mouvements infimes. Dans l’interaction, l’idée même d’invalidité perd son sens (…) L’âge d’or propose une utopie: une danse commune qui dépasse la situation de handicap (…) “Les thérapeutes ont constaté un vrai changement, les enfants font davantage preuve de relâchement et de contrôle, témoigne Colette Limouzm, directrice de l’établissement. La plupart d’entre eux souffrent de dystonie (mouvements involontaires, ndlr), difficiles à gérer pour les thérapeutes. Ils se sont atténués ou ont disparu avec la danse.””
La Provence
Sur L’Âge d’or.
Par Marie-Êve Barbier.
France 3 Région Sud
Sur L’Âge d’or.
"Dans cet espace hors du temps, semblable à un chapitre de roman d’anticipation, enfants et robots apprennent ensemble la mimesis. Pas comme contemplation idiote, mais imitation poétique, motivée par la volonté intrinsèquement humaine, si chère à Aristote, de tendre vers une fin signifiante. Toute la beauté de School of Moon résidant dans sa faculté à devenir tel un enfant, par delà les contours morphologiques."
Magmaa
Sur School of Moon.
Par Géraldine Pigault.